Le pas lent et lourd d’une personne se fait entendre dans les couloirs du château. Les étoiles brillent encor haut dans le ciel nuageux et sombre. La lune fait vivre sur le sol, l’ombre des statuts qui les décors, quelque fois effacé par un nuage inopportun. On peu entendre, entre les pas, le bruit que produit le froissement d’une robe de chambre en mouvement lent, suivit quelque fois de soupir à fendre l’âme. La jeune femme s’arrêter de temps à autre, interpelé par les habitants des tableaux qui n’étaient pas encor endormis malgré l’heure tardive. Elle leur répondait de bon cœur, même si elle n’avait pas la tête aux commérages de couloir.
Elle avancé sans but précis dans le dédale de l’académie endormie. Arrivé devant un escalier richement décoré par des moulure et une rampe en chêne finement ciselé, elle marqua une pause, avant d’entamé l’ascension. C’était un escalier en colimaçon qui menait aune pièce très peu connue, et utilisé que par une seule personne. Une fois arrivée sur le perron, la jeune femme marqua une nouvelle pause, avant de poser doucement son front contre la porte en frêne richement décoré d’or et de pierres précieuses. Elle pouvait à présent entendre à l’intérieur, le souffle calme et tranquille provoqué par un sommeil profond. Elle resta un moment ainsi appuyait contre la porte, son cœur s’accordant au rythme de la respiration du dormeur. Cela e pour effet de la calmer au plus profond d’elle-même.
Lorsqu’elle ce décida enfin a descendre pour retourner dans le couloir, la lune était a plus de la moitié de son chemin entre le soir et le matin. Les nuages avait fini par ce dissipé, faisant échos à l’état d’esprit de la jeune femme. Une fois dans le corridor elle alla s’accouder à une fenêtre qui donnait sur le parc encor endormit. Soudain elle le vit, son visage lui apparut dans un éclair. La vision fut aussi bref que soudaine, mais eu pour effet de la faire ce redresser et sortir sa baguette de la poche dans laquelle elle l’avait rangé, bien plus tôt dans la soirée. Son cœur s’était mit à battre à une cadence très rapide, elle sentait une goutte de sueur lui descendre dans le dos pour finalement mourir en bas de ses reins. Elle était essoufflé et à l’affut du moindre bruit suspect. Lorsqu’un rat malheureux eu le malheur de traverser le couloir, elle lança instinctivement un sort de stupefixion. Lorsqu’elle se réduit compte dans qu’elle état cette vision l’avait mise, elle se gifla mentalement avant de libérer le rat de l’emprise de son sort. Ce dernier, complètement apeuré, retourna à toute vitesse se cacher dans son trou, tout en poussant des cris de fureur.
Elle retrouva assez vite son calme, mais garda à la main sa baguette, faisant sortir de temps a autre, des oiseaux majestueux qui se postèrent sur les statuts, ou des décorations de Noel qui vinrent s’ajouter a celles déjà en place. Ainsi, une rivière de stalactites, semblable à des diamants, vint prendre place sur toutes les rampes d’escalier menant au premier étage.
Lorsque l’on put voir apparaître a l’horizon, le soleil se lever sur un paysage gelé, et couvert de neige, Mélusine était assise sur des marche menant a une tour non connue des élèves, devant une fenêtre qui lui offrait une vue époustouflante sur le parc, le lac et la foret avoisinante. La jeune resta là, perdu dans ses pensés jusqu'à ce qu’elle sente une présence amusé dans son dos.
Sujet: Promenade nocturne 
Jeu 20 Déc - 14:43
